L’œil et l’aiguille
Alice Calm brode des cheveux, souvent les siens, parfois ceux des autres (c’est plus gai et multicolore). Par dessus des tissus aux destinées étranges, tombés d’un stock de mercière, passés sous terre, ou pire. Elle en fait des boîtes, des objets étranges, des installations, qui s’exposent en toute discrétion mais …