Photographie, graphisme et édition : et voilà le travail d'Ernesto Timor !
 

Si Hippolyte* le veut

Le titre de ce post fait écho à un autre ici-même il y a déjà 2 ans…
(Tiens l’an dernier je n’ai rien fait de tel, aurais-je une horloge biologique de type biennal ?!)
L’idée est carrément la même. Pour changer un peu des articles-vitrines sur de trop rares commandes fructueuses, voici une petite feuille de route pour les mois à venir. Centrée sur les projets artistiques et leurs probabilités d’aboutir avant la fonte prochaine de la banquise…

*Hippolyte Bayard, puissance supérieure à qui je me recommande céans, qui est-ce donc ? Une figure brumeuse, membre éminent de ce peloton des inventeurs de la photographie, par ailleurs auteur de ce qui est peut-être la première mise en scène photographique, génial et dérisoire autoportrait de l’artiste en noyé. Un héros, quoi. J’y reviens plus bas…

Photo © Ernesto Timor
Extrait de Mes champs visuels, Cycle 2.


  • Les Photaumnales de 2015 sont dédiées à Hippolyte Bayard. Tiens donc. J’y postule modestement mais non sans rire. Je ne sais pas mes chances de me retrouver accroché dans le Beauvaisis de septembre à novembre prochain, mais une fois les exposants choisis je vous dévoilerai davantage ce que j’y ai présenté…
  • Le fil de la pierre, mon errance granitique faite installation photographique et sonore par la magie du Chat Perplexe, n’a pas fini de rencontrer les publics de la Creuse ! Du 22 mai au 14 juin à Masgot (village sculpté) et plus tard dans l’année, à la médiathèque de Guéret (dates encore non définies) et nous espérons ailleurs encore.
  • Mes champs visuels [Apparitions & Reconstructions]. Le Cycle 2 paraît début mai, un livre en tirage limité aux éditions Image Latente. De quoi compléter votre collection au plus vite.
  • Mes champs visuels, encore. En exposition cette fois. Des extraits de cette saga tirée au cordeau seront exhibés en intra comme en extramuros à Liège à l’occasion du bousculant festival Chic & Cheap, du 31 juillet au 16 août. Hop, en Belgique !
  • Incartades. Une troisième mouture de cette exposition (basée sur les photos qui nourrissent ma collection de cartes Timor Rocks !, voir éditions précédentes) sera visible du 10 au 18 octobre, au sein d’une exposition intitulée Regards et découvertes, dans les salles du très élégant Château de Villiers à Draveil (91). Plus de détails prochainement !
  • Enfin le recueil Quelque chose suit son cours poursuit son cheminement patient, en quête de l’éditeur qui le couchera sur le papier, du lieu d’exposition qui le hissera sur ses cimaises. On ne peut pas savoir le temps que ça prendra, avec un titre pareil…
  • Dernière minute : projection d’un diaporama concentré de mes bonnes vieilles Limites nous regardent, en prélude au Bruit des gouttes pour compagnie (réédition d’une expérimentation de projection dansée avec Morgane Karsenti) : au festival Play Mobile organisé par les jeunes architectes de Bellastock aux lisières de l’aéroport de Roissy-en-France, à la nuit tombée les 14 et 15 mai…